expression libre

Groupe du rassemblement
de la gauche et de l’écologie

Au Val de Vire, le fait du prince a encore frappé !

Une décision arbitraire, nécessaire et incontestable selon Jean-Léonce Dupont, mais en réalité contestée par TOUS ! Élus virois de la majorité comme de la minorité, Député de la circonscription, habitants du quartier, parents d’élèves, élèves et enseignants, sont mobilisés, sans relâche, contre la fermeture du Val de Vire.
Face au Val de Vire vivant et vivace : le mutisme d’un Président de Département et d’un Maire.
Devenue une coutume départementale, le Val de Vire s’ajoute à la liste des annonces de fermeture de collèges et au processus de casse du service public orchestré par la majorité départementale.
Les seuls arguments de baisse démographique à venir et de mixité scolaire sont répétés à l’envi mais pèsent bien peu face à un collège symbole de la réussite scolaire et de la relation de proximité entre élèves et enseignants.
La majorité a le temps de concerter, de remettre à plat la carte scolaire pour définir et assurer une vision pérenne des collèges calvadosiens sur l’ensemble du territoire, en s’attachant à mettre les moyens à la hauteur des besoins, là où ils sont. L’annonce d’un possible report va dans ce sens mais ne sert à rien si c’est pour acter la fermeture.
Février 2023 constituera le moment où la fermeture du collège de Val de Vire sera mise au vote, ou bien, ce pourra être le moment de renouer avec le processus démocratique… « en démocratie on a le droit d’avoir tort » !

Le rassemblement de la gauche et de l’écologie
Salyha ACHOUCHI*
Alexandra BELDJOUDI, Antoine CASINI,
Élise CASSETTO-GADRAT,
Édith HEUZÉ, Joël JEANNE,
Françis JOLY, Martine KERGUÉLEN,
Steve LECHANGEUR* et Éric VÈVE

*absent(e) le jour de la photo

Groupe Union des Républicains, Divers Droite et Indépendants

Engagement pris, promesse tenue : les élus départementaux adoptent un programme d’intérêt général de 3 ans en matière d’habitat qui permet de répondre aux enjeux d’amélioration énergétique et d’adaptation des logements à une perte d’autonomie.
Pour répondre à ces objectifs, ce programme prévoit un dispositif d’accompagnement gratuit (conseil-ingénierie, montage du dossier, aide à la récupération des diverses subventions existantes, visite post-travaux…) et d’aides financières pour les ménages du Calvados qui envisagent de réaliser des travaux dans leur résidence.
Au-delà des enjeux environnementaux devenus majeurs, le PIG a aussi pour vocation d’aider les personnes en perte d’autonomie à adapter leur habitation pour pouvoir continuer à vivre en toute sécurité chez elles. Dans le cadre de notre engagement politique d’agir pour un département encore plus solidaire et durable, nous nous réjouissons de l’adoption de ce programme marquant notre volonté d’aider les personnes à bien vieillir sur leur territoire. Plus nous engagerons de moyens pour permettre aux seniors de rester le plus longtemps possible à leur domicile, plus nous participerons au bien-être de nos aînés en leur permettant de garder leur cadre de vie familier et tous leurs repères.
Nous sommes d’autant plus fiers de ce Plan d’Intérêt Général que 75 % des Calvadosiens pourront en bénéficier. En effet, ces aides seront accessibles aux ménages ayant des revenus non seulement très modestes et modestes mais aussi intermédiaires.

Carole FRUGERE
Béatrice GUILLAUME
Cédric NOUVELOT
Emmanuel PORCQ*
Patrick THOMINES
Ludwig WILLAUME

*absent(e) le jour de la photo

Groupe Horizons et Indépendants du Calvados

Pour une refondation de l’action publique !

Depuis plusieurs décennies, notre paysage économique, culturel et social s’est profondément transformé. Les crises récentes des gilets jaunes, la crise sanitaire, ou encore celle de la confiance dans la représentation nationale en perpétuel recul, n’en sont que des marqueurs récents.
De cette réalité nouvelle qui structure notre pays, nous devons tirer toutes les leçons et poser les problèmes un à un, méthodiquement afin d’y apporter des réponses efficaces, viables et durables.
Horizons, par la voix de son Président Édouard Philippe, veut porter cette refondation de l’action politique pour construire une stratégie de long terme pour la France et ses territoires.
C’est dans cette droite ligne que nous avons décidé de créer, au sein de la majorité départementale, le groupe Horizons et Indépendants du Calvados.
Nous apporterons cette nouvelle voix dans nos débats pour relever les défis auxquels répond, à son échelle, le Conseil départemental. Le Calvados n’est en effet pas épargné par les conséquences de ces crises et nous avons la responsabilité de répondre au mieux aux attentes des habitants de nos territoires.

 Les élus du groupe Horizons et Indépendants du Calvados
Olivier ANFRY
Vanessa BONHOMME DUCHEMIN
Patrick JEANNENEZ
Philippe LAURENT
Myriam LETELLIER
Marie-Christine QUERTIER

 

Groupe majoritaire, centristes et indépendants

La période de préparation budgétaire qui s’annonce, à la fois au Département, mais également au Parlement, est une nouvelle fois l’occasion de relancer le débat sur la tutelle que tente insidieusement d’imposer l’État aux collectivités territoriales.

Lors de la session du 21 novembre, vos élus départementaux ont voté l’autofinancement complet de nos investissements pour l’année 2022, en annulant l’autorisation d’emprunt de 50 M € qui avait été prévue lors du vote du budget. Cet autofinancement est une conséquence positive du dynamisme du marché de l’immobilier post-covid, mais aussi et toujours la résultante d’une bonne gestion de notre collectivité et de nos choix politiques.
Cette situation financière, parmi les plus saines de France, est le témoignage d’une réelle capacité territoriale et autonome à gérer convenablement l’argent public. Pourtant, l’État, après avoir suspendu l’encadrement des dépenses de fonctionnement pendant la crise sanitaire, a intégré, sans débat parlementaire, via le 49.3, un nouveau « contrat de Cahors », qui encadre toujours plus nos dépenses, et du même coup nos capacités d’investissement. Mal nommé « Contrat de confiance », il n’a pourtant rien d’un contrat puisqu’il est unilatéral, se passant totalement du consentement des élus locaux. Il n’a de confiance que celle de sa technostructure, persuadée de savoir mieux que les territoires. Le déficit abyssal de la France devrait pourtant ramener à la raison et à plus d’humilité.
Cette nouvelle charge de l’État contre la libre administration de nos collectivités territoriales est d’autant plus surprenante que celle-ci se fait, sans aucune forme d’analyse ou même d’évaluations des derniers dispositifs mis en place. Dans un rapport intitulé « Contractualisation financière avec les collectivités : bilan d’un dispositif interrompu », la Cour des comptes évoque d’ailleurs « une détérioration de la lisibilité budgétaire » et « une fragilisation des politiques partenariales initiées par l’État ».
Rappelons également que, à l’échelle départementale, une partie non négligeable des dépenses de fonctionnement sont en réalité des dépenses « non pilotables », c’est-à-dire sur lesquelles nous n’avons pas la main, des dépenses donc contraintes par l’État, notamment sur tout le champ de la solidarité. Nous remercions d’ailleurs les sénateurs d’avoir entendu cette réalité dans les premières discussions budgétaires, en excluant du périmètre des dépenses de fonctionnement ciblées les allocations individuelles de solidarité pour les Départements (notamment le RSA).
Nous demandons donc une nouvelle fois à l’État de retrouver la voie de la raison mais surtout de la confiance, pour qu’ensemble, dans un dialogue sincère et juste, nous puissions continuer de vous proposer des politiques publiques ambitieuses tout en poursuivant le nécessaire désendettement de notre pays !

Nous pensons très sincèrement que l’expertise, en matière de gestion des finances publiques, de bon nombre de nos collectivités territoriales devrait servir de valeur d’exemple à l’État, qui continue de dépenser un argent qu’il n’a pas et qu’il emprunte aux futures générations, souvent sur le dos de nos budgets locaux.
Moins de verticalité et plus de liberté d’entreprendre, pour plus d’investissements au cœur de nos territoires, voilà certainement la recette pour porter les emplois locaux de demain.

 

Jean-Léonce DUPONT
Clara DEWAELE
Michel FRICOUT
Audrey GADENNE
Sébastien LECLERC
Sylvie LENOURRICHEL
Xavier CHARLES
Hubert COURSEAUX
Régis DELIQUAIRE
Valérie DESQUESNE
Christine EVEN*
Bruno FRANCOIS
Patricia GADY DUQUESNE
Christian HAURET
Jean-Yves HEURTIN
Sylvie JACQ
Michel LAMARRE
Mélanie LEPOULTIER
Alexandra MARIVINGT
Colette NOUVEL-ROUSSELOT*
Angélique PERINI
Ludovic ROBERT
Dominique ROSE
Sophie SIMONNET
Marc ANDREU SABATER*
Florence BOULAY*
Coraline BRISON VALOGNES
Angélique LEMIERE

*absent(e) le jour de la photo

 

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